Jakobus Langerhorst, Weizenkirchen OÖ
Pourquoi le cuivre plutôt que le fer ? Expériences avec des appareils en cuivre
La bipolarité dans la nature
Partout où les conditions climatiques et géologiques sont réunies, la terre est couverte de végétation. La forêt, la prairie, le champ et la plate-bande du jardin dépendent tous de la couche supérieure du sol, aussi fine soit-elle, qui est imprégnée d’humidité et d’air. C’est là que les plantes peuvent germer, pénétrer la terre avec leurs racines et ombrager le sol avec leur feuillage. Selon Viktor Schauberger, il s’agit de la « peau frontière » dans laquelle les substances de la terre (eau, vie du sol, humus) et les substances du ciel (lumière, oxygène) se mélangent et génèrent la vie. Nous parlons de dégradation et de construction, de croissance, de maturité et de flétrissement, de devenir et de disparaître.
L’art de cultiver et de jardiner consiste à faire en sorte que tous ces processus, bien qu’accrus, se déroulent dans leur équilibre naturel. Ainsi, nous veillons à la bonne température et donnons de l’eau aux plantes lorsque le sol est sec. En cas de forte lumière, nous veillons à ce que les plantes sensibles bénéficient d’une ombre légère.
Nous savons que les jours d’été, un air humide nous fait du bien et qu’un ciel légèrement nuageux est agréable pour nos yeux. Il en va de même pour les plantes, dont la croissance est alors à son apogée.
Le contre-exemple est le désert. Aucune « peau limite » ne peut s’y former, car les forces de la lumière et de l’air sec sont trop puissantes et leur activité consomme la terre. Le point culminant est la combustion. Où, comme nous le savons, la chaleur et l’oxygène consomment l’hydrogène et le carbone. Mais les arbres et les forêts apportent un merveilleux équilibre !
Protéger la Terre
Dans la nature (intacte), nous voyons comment la terre se protège. Viktor Schauberger décrit si bien comment une jeune graine encore fragile peut pousser à l’ombre des arbres les plus hauts. L’intensité de la lumière est brisée et dispersée par les branches et les feuilles en mouvement, de sorte qu’elle ne cause aucun dommage à la plante fragile, qui est même très docile à ce moment-là ! Il parle des « substances fécondantes atmosphériques » (lumière et oxygène), chargées positivement, qui doivent d’abord être freinées et mises dans un état d’inactivité (ou de passivité) pour pouvoir être reçues de manière optimale par les « substances fécondantes géosphériques » (carbone, eau, vie du sol et plante), chargées négativement. Une magnifique image de ces opposés dont la fusion conduit à une cristallisation, ce que nous appelons la vie et la croissance. En tant qu’agriculteurs et jardiniers, nous nous efforçons toujours de protéger le sol, cette « peau frontière » qu’est la terre, qui est un domaine extrêmement sensible avec la vie qu’elle contient, en utilisant les moyens dont nous disposons. Nous cultivons des engrais verts, nous ne laissons aucune surface de sol non cultivée ou non couverte, nous paillons avec des matériaux organiques. Ou bien nous pratiquons le « mulching », qui consiste à laisser les 2 ou 3 premiers centimètres de sol ameublis afin d’empêcher l’évaporation de l’humidité du sous-sol. Lorsque le feuillage des plantes cultivées recouvre tout le sol et crée le « microclimat » souhaité, nous avons rétabli la nature et son équilibre. Et, comme nous le voyons, ce sont également les outils avec lesquels nous traitons la surface du sol de manière ciblée, mais parfois aussi (par exemple en creusant profondément) de manière très blessante, qui ont une influence sur le processus de croissance. Ainsi, la manière d’utiliser les outils, leur forme et surtout la qualité des matériaux contribuent à préserver et à entretenir la couche limite de la terre, si importante pour la vie.
L’effet des métaux dans le sol
Dans la nature, les métaux sont généralement présents dans un dosage équilibré et dans une combinaison chimique neutre pour le sol. Cependant, selon les observations de Viktor Schauberger, les régions où le minerai de fer est abondant sont plutôt des régions pauvres. En revanche, les paysages riches en cuivre se caractérisent par une croissance abondante. Il montre également que la baisse de rendement frappante de l’agriculture bulgare après la « modernisation » était due à l’utilisation généralisée de charrues en acier. Dans les villages turcs dispersés, où les anciennes charrues en bois (habituelles) étaient encore utilisées, généralement tirées par des hommes, il n’a pas constaté de baisse de rendement. Les charrues en acier étaient en outre tirées par des chevaux et parfois par la vapeur, ce qui entraînait une usure plus importante et, bien sûr, plus de chaleur. Pour prouver ses dires, Viktor Schauberger a mis des particules de fer dans l’eau ; de la rouille s’est immédiatement formée et l’eau a perdu sa tension naturelle. Dans le sol, d’autant plus que son poids spécifique est plus élevé, elle aura tendance à couler et sera presque inaccessible aux racines des plantes !
Les autres effets négatifs sur le bilan hydrique du sol des charrues rapides en fer et en acier sont l’accumulation de chaleur, qui fait s’évaporer l’eau, et l’action électrolytique, qui décompose l’eau en hydrogène et en oxygène, tous deux volatilisés. Le sol s’assèche. Tout cela diminue la tension géosphérique, la croissance est inhibée et les rendements diminuent. Ces conclusions n’ont pas été bien accueillies par le gouvernement de l’époque, car les intérêts commerciaux étaient au premier plan.
Or, c’est précisément le fer qui a un effet négatif sur le sol lors du passage et de l’abrasion. L’avantage du cuivre est sa propriété non magnétique, de sorte qu’il n’y a pas de courant électrique lors du passage dans le sol. Il n’y a donc pas d’effet électrolytique de décomposition de l’eau.
Il convient de noter que les praticiens qui travaillent avec des outils en cuivre (charrues, houes) ont constaté que les outils en cuivre opposent beaucoup moins de résistance au sol que les outils en fer. C’est un travail plus facile ! Le cuivre ne rouille pas, il n’y a donc pas d’oxydation avec le cuivre ou les métaux précieux. Ainsi, l’eau est préservée. Viktor Schauberger voit dans le fer un prédateur d’hydrogène et dans le cuivre un producteur d’hydrogène ! Nous pouvons le vérifier par nous-mêmes en posant un objet en fer sur notre langue ; ce n’est pas agréable.
Lors de l’abrasion (usure) du cuivre, il y a une distribution très fine de cuivre, également d’étain et éventuellement d’autres traces de métaux précieux dans le sol. Il s’agit donc d’une fertilisation en oligo-éléments pour le sol. Elle peut être complétée, si nécessaire, par un mélange de métaux précieux composé d’aluminium, de chrome, d’or, de manganèse, de magnésium, de nickel, d’argent, de zinc et, en cas de pénurie, de fer, riveté ou soudé sur le plan de travail des appareils. Ce complément n’a toutefois de sens que si un sol en manque. Comme pour tout, il s’agit de trouver la bonne dose ! Si l’on utilise des appareils en fer, la quantité de traces de fer libérée peut être trop importante et, contrairement au cuivre, très destructrice. En revanche, si nous avons un sol sain et biologiquement actif, où un travail minimal du sol suffit pour obtenir les meilleurs résultats sur une terre grumeleuse, un peu de fer sera probablement le bon dosage et ne causera certainement aucun dommage. Néanmoins, il est rassurant de savoir que l’outil que j’utilise est bénéfique pour le sol et qu’il constitue une bonne alternative aux disques de fer.
Le sol fertile
Dans le cadre d’une agriculture naturelle, la vie du sol assure l’équilibre des minéraux et des oligo-éléments. Des apports de poudre de roche, d’algues marines et de calcaire coquillier enrichissent constamment le sol, de sorte que même les sols pauvres ou épuisés peuvent être rééquilibrés ! En particulier, une gestion bien organisée du compost et d’autres mesures agricoles telles que les engrais verts et le paillage restent des conditions fondamentales pour une fertilité durable des sols. Mais si l’on repense aux sols roumains, fertiles par nature, qui ont toujours donné de bonnes récoltes après avoir été cultivés de manière traditionnelle et biologique avec des outils en bois uniquement, mais qui se sont soudainement effondrés à cause de l’utilisation d’outils en fer, on se rend compte à quel point une structure de sol intacte peut être perturbée si un seul maillon est endommagé.
Un paysage intact comprend également des arbres, des haies, des arbustes et de nombreuses herbes. Les arbres aux racines profondes emmagasinent les précipitations et extraient des couches profondes du sol les précieux minéraux et oligo-éléments qui sont stockés dans leurs branches et leurs feuilles. De nombreuses herbes sont des spécialistes de certains nutriments et micronutriments vitaux, dont elles enrichissent le sol. Ainsi, nous ajouterons autant que possible des branches d’arbres et des tailles de haies, ainsi que des feuilles mortes et même de la litière forestière à nos tas de compost. Nous obtiendrons ainsi un compost très riche en minéraux, qui donnera aux plantes beaucoup de vitalité et de résistance ! Nous apprécions également la cendre de bois pure comme nutriment du sol. Nous ne devons pas négliger tout cela, c’est la base, même si nous utilisons des engrais cuivrés respectueux du sol !
Les appareils et leur utilisation :
Ils sont de retour, les outils en cuivre ; la traditionnelle pioche, la dent de truie, le râteau, la bêche, le trident et deux variantes de la petite pioche !
Dans une forge d’art autrichienne, le cuivre nécessaire est travaillé de manière artisanale. Il doit être martelé et solidifié par de nombreux coups de marteau. Le martelage et l’alliage avec un peu d’étain (8%) lui donnent sa forme et sa solidité. Les manches en bois de tilleul, de forme incurvée, contribuent à la maniabilité et à la légèreté des outils. Oui, ils sont parfaits pour le jardinage !
Nous utilisons ces lames depuis deux ans. Leur forme en pointe en fait un outil polyvalent. Comme le manche est ancré presque au centre de la lame, le travail de sarclage peut également être effectué avec les faces latérales, ce qui est possible en inclinant légèrement la lame vers la gauche ou vers la droite. Même l’herbe et le trèfle peuvent être hachés avec cette houe, encore mieux qu’avec les houes droites que nous avons préférées jusqu’à présent. Ces dernières peuvent rebondir sur un pollen d’herbe si la force de frappe n’est pas suffisante. En revanche, une lame pointue est toujours efficace, même avec moins de force, car elle coupe à travers !
Comme notre sol, qui n’est jamais travaillé par des machines, a toujours une structure meuble, nous pouvons nous passer d’ameublir le sol en profondeur. Même lors de la culture, le sol n’est travaillé que jusqu’à la profondeur du semis. Ainsi, la griffe, la fourche à bêcher et la bêche ne sont utilisées pratiquement que pour la culture et la récolte des légumes-racines. Pour cultiver, la houe et le râteau sont toujours utiles. La griffe peut être très utile pour la plantation et le repiquage des oignons, en la tirant suffisamment profondément dans le sillon. Cela facilite la mise en terre des plants et des boutures ! Le trident et les petites pioches avec leurs griffes sont utilisés pour les travaux d’entretien. Le trident, léger et maniable, est actionné de manière fugace pour gratter toutes les parties du sol encore nues et un peu croûtées après la pluie. Sous une couche supérieure de terre meuble, même fine, le sol reste humide, car l’humidité de la terre ne peut plus atteindre aussi facilement la surface du sol chauffée par le soleil ! Pour le grattage et les travaux de plantation, il est très utile d’utiliser des petites pioches à une main ! Pour récolter les racines, une fourche à bêcher est facile à manier, car elle traverse le sol avec souplesse. Il est possible que vous en trouviez une en cuivre, mais ce n’est pas si simple avec ce type d’outil, car les dents longues et relativement fines se tordent facilement lorsqu’elles sont soumises à une forte pression. Dans ce cas, une fourche à bêcher en fer fera l’affaire. Certains légumes-racines ont des racines puissantes et profondes, comme le panais ou le salsifis. On ne peut les arracher qu’avec une bêche. Mais là encore, la bêche en cuivre serait trop dommage, surtout s’il y a des pierres dans le sous-sol. Chaque jardinier connaît certainement un travail pour lequel la bêche en cuivre serait également utile. Je pense par exemple à l’enfouissement et à l’épandage du compost ou à la plantation d’arbustes ornementaux et fruitiers ainsi que de plantes vivaces.
L’entretien des appareils :
Les appareils en cuivre ne rouillent pas, ils n’ont donc pas besoin d’être nettoyés après un travail, et s’ils le sont, c’est toujours facile. Il faut éviter une exposition prolongée à la lumière directe du soleil. Si, pendant notre séjour dans le jardin, nous rangeons un appareil parce que nous n’en avons pas besoin, nous chercherons un endroit ombragé pour le moment. Nous ferons très attention à ne pas utiliser les appareils les plus fragiles dans des endroits où le sol n’est pas encore cultivé comme un sol de jardin. Il s’agit par exemple de sols fortement enracinés par des arbustes, de sols avec une végétation sauvage et de sols encore fermes et pierreux. Dans ce cas, il faut d’abord utiliser des cultivateurs en fer, des marteaux-piqueurs et des crampons. Si le sol est suffisamment meuble, il est possible de travailler très prudemment et sans effort avec des outils en cuivre. Le cuivre utilisé pour les outils est composé d’un alliage spécial (étain) et a été solidifié mécaniquement (martelage, étamage). Ces deux éléments contribuent grandement à l’élasticité du cuivre et lui permettent de compenser les déformations. Contrairement aux outils en fer, le cuivre est beaucoup plus facile à plier, à repasser et à affûter. De temps en temps, il est bon de repolir les bords émoussés. Cela permet d’obtenir un bon tranchant pour la houe et la bêche et d’éviter la perte de substance ! Tout au plus, les pointes trop tranchantes qui se sont formées lors du repassage peuvent être aiguisées avec une pierre à aiguiser. Il faut apprendre à repasser le fil ; pour les parties fines qui sont fragiles, c’est trop ! Il faut donc prendre son temps et modérer son effort !
Les manches en bois de tilleul ne sont pas traités. Nous les avons laissés tels quels, car je pense que c’est mieux pour nos mains. Nous avons ainsi un contact naturel entre le bois et la peau, où l’équilibre entre l’air et l’humidité (transpiration) peut mieux se faire qu’avec des manches traités avec des lasures. Si c’est le cas, je les traiterais avec de la cire d’abeille. Maintenue au chaud, elle est frottée fermement avec un chiffon. Bientôt, les ustensiles en cuivre vous tiendront à cœur. Nous les utilisons volontiers lorsque nous devons jardiner. Oui, ils nous font vraiment plaisir.
Jacques Langerhorst 2002

Comment j’ai appris à apprécier les escargots /Jane Cobbald

Observations et découvertes d’une jardinière
Les escargots et les limaces sont sans doute l’un des fléaux les plus importants et les plus ennuyeux pour les jardiniers. Face à leur bave traîtresse ou aux maigres restes d’une salade ou d’un haricot à rames (quand il est déjà trop tard), on se demande chaque année si l’on doit continuer à jardiner ou si l’on ne devrait pas plutôt aller chercher ses légumes au magasin.
Eh bien, j’ai toujours été fasciné par l’idée de cultiver ma propre nourriture. Mais jusqu’à il y a deux ans, les petites bêtes visqueuses me mettaient régulièrement en crise. Je n’ai même pas essayé de cultiver des plantes soi-disant faciles à entretenir comme les épinards ou la laitue. J’ai involontairement partagé ma récolte de pommes de terre avec des vers et des limaces. J’avais construit des protections à grande échelle autour de mes tomates et de mes haricots à rames (des fossés d’eau, des échasses, des fils de capture en cuivre, des bouteilles en plastique sciées et des drains en plastique que je plaçais autour de mes plantes comme des fossés d’eau autour de vieux châteaux) jusqu’à ce qu’elles soient suffisamment robustes pour survivre sans aide. C’était une bataille continue. J’écrasais les minuscules escargots dans la bataille pour mes plantes bien-aimées, et je jetais les plus gros escargots dans le bac à compost dans l’espoir qu’ils s’y rendent utiles. Et pourtant, je ne pouvais pas m’empêcher de penser que ces remèdes ne s’attaquaient pas vraiment aux racines et n’éliminaient pas vraiment les causes. Qu’est-ce qui pousse tant d’espèces et de variétés d’escargots à faire autant de dégâts ? L’année dernière, je suis tombé par hasard sur une explication possible.
Au printemps 2001, on m’a conseillé d’utiliser des outils de jardinage en cuivre. En août, j’ai remarqué que les plants de pommes de terre que je cultivais sur une petite parcelle se portaient bien et j’ai attribué cela à la qualité de l’engrais et au fait que je les avais entassés avec de l’herbe coupée. Il y avait tellement de pommes de terre qu’elles montaient déjà à travers la terre, alors je les ai cueillies en évitant d’abîmer les racines. Puis, de plus en plus optimiste, j’ai semé des salades dans la serre. Une semaine plus tard, elles ont commencé à pousser et un soir, tard, j’ai fait des rondes avec ma lampe de poche. J’ai trouvé deux grosses limaces, je les ai ramassées et je les ai déposées dans le bac à compost. Dix jours plus tard, à ma grande surprise, les pousses de laitue étaient toujours là, et je n’arrivais pas à trouver d’explication. Comme je n’ai rien trouvé d’autre, j’ai laissé tomber pour le moment.
Début septembre, j’ai récolté mes pommes de terre et c’est à ce moment-là que j’ai compris que quelque chose d’étrange était en train de se passer. Même après plusieurs repas de pommes de terre de la première récolte, il restait encore plusieurs kilos dans le sol. Et sur l’ensemble de la récolte, seules six pommes de terre avaient été attaquées par les limaces.
Le miracle s’est poursuivi en 2002. En mai, il faisait plus chaud et plus humide que la moyenne en Angleterre, et il n’était donc pas surprenant que de nombreux jardiniers se plaignent de fortes attaques de limaces. Dans mon jardin, je dois admettre que la plupart des cosmos ont disparu, mais j’ai eu une culture record d’épinards au printemps. Les haricots à rames ont survécu sans aucune protection (par -4°). J’ai trouvé des traces de bave dans la serre, mais les tomates étaient parfaitement intactes. En juin 2002, j’ai franchi une étape personnelle : je n’ai plus jeté un seul escargot hors de la serre.
Que se passait-il ? J’ai commencé à faire des recherches et, même si je ne peux finalement pas prouver ma théorie, je voudrais la soumettre ici à la discussion : J’avais commencé à utiliser du cuivre pour mes outils de jardinage en 2001. Le cuivre a-t-il une influence sur le comportement des escargots ?
Au cours d’une conversation, j’ai découvert que le sang des mollusques contient de l’hémocyanine à base de cuivre, alors que le sang humain fonctionne à base de fer (hémoglobine). La circulation du fer dans notre système sanguin humain permet à un champ électromagnétique indépendant de s’ancrer dans notre corps. Le fer est magnétisable et chaque morceau de fer peut maintenir son propre champ électromagnétique, même s’il se trouve dans la zone d’influence d’un autre morceau de fer. De même, bien que nous vivions dans le champ magnétique de la Terre, nous avons tous notre propre champ magnétique indépendant. Ce champ magnétique nous permet fondamentalement de stocker des choses, jusqu’aux pensées et aux sentiments. Et chaque personne est magnétisée différemment, nous sommes capables d’avoir des pensées et des sentiments différents de ceux de notre voisin. Si notre sang ne contenait pas d’hémoglobine ferreuse, nous ne pourrions peut-être pas avoir de champ magnétique propre ? Et donc pas de pensées ni de sentiments ?
Que se passerait-il si notre sang humain contenait de l’hémo-cyanine ? Le cuivre n’a pas les propriétés magnétiques du fer et nous ne pourrions donc pas créer notre propre champ électromagnétique. Avec de l’hémozyanine dans le sang, nous serions probablement très sensibles à toute variation électromagnétique dans notre environnement et réagirions aux changements du champ magnétique terrestre d’une manière qui dépasse notre imagination. Nous serions peut-être obligés de réagir et incapables d’agir de manière indépendante.
Et si le comportement des escargots était affecté exactement de la même manière ? Elles sont très sensibles aux influences électromagnétiques extérieures. Cela signifie que les escargots ne sont pas attirés par mes pousses de salade fraîches, mais qu’ils sont sensibles au champ magnétique du sol du jardin. J’ai toujours utilisé des outils de jardinage en fer qui laissent une « empreinte » magnétique dans le sol, tout comme un clou en fer rouillé a un champ magnétique dans le sol. Les escargots sont alors attirés. Pendant qu’ils se déplacent dans les zones du sol qui les attirent magnétiquement, ils ont besoin de nourriture, ils mangent donc mes plantules qui s’y trouvent. Si je jette les escargots au compost, cela ne résoudra pas le problème de la plate-bande de salades ; et les escargots reviendront toujours.
Mais si je travaille le sol avec des outils en cuivre, cela a l’effet inverse. Le cuivre ne laisse pas de « traces magnétiques » dans le sol du jardin et ne crée donc pas de champs magnétiques. Certains peuvent se déplacer dans le sol du jardin, mais ils ne restent pas longtemps et n’ont donc pas besoin de manger.
Je n’ai aucune formation universitaire, je ne suis ni biologiste ni physicien, mais je serais très heureux d’avoir des commentaires ou des réactions de la part de spécialistes. Je ne peux pas expliquer l’utilité de ce comportement pour la survie des escargots. Il ne fait aucun doute qu’ils apprécient particulièrement certaines plantes – un autre aspect à explorer. Le fait que les escargots réagissent également aux plus infimes variations du champ magnétique du sol du jardin me semble plausible. Après tout, l’homéopathie travaille elle aussi avec des quantités qui ne sont guère mesurables. En tout cas, je suis heureux que les limaces ne ravagent plus mon jardin.
Jane Cobbald
LIEN vers : Outils en cuivre – Un bienfait pour le jardin
Cher M. Stadler et collaborateurs !
J’ai déjà beaucoup d’appareils en cuivre de chez vous…. et c’est un grand plaisir ! de créer et de travailler avec. Je suis toujours dans le jardin, tant que les températures le permettent ! Bonne chance pour 2014, santé et bien-être et joyeux Noël !
Kurt F.
Merci de préserver et de faire revivre l’ancien !
Vu sur ORF, commandé et utilisé. Je n’ai jamais eu un outil aussi merveilleux, pratique et simple dans ma vie de jardinier ! Je vous souhaite beaucoup de succès pour vous et votre entreprise – je vous recommande à tout le monde !
Cordialement, en tant que client très satisfait
Karin B.
Je vous remercie, tout est bien arrivé. Je n’utilise maintenant que des appareils de chez vous et je les apprécie beaucoup. Les poignées en bois des petits outils sont particulièrement bien faites. Ce qui me gêne un peu, c’est comment des pierres ont pu faire une telle entaille dans la pioche. Bonne chance !
H. B.
Je pense qu’il arrive trop souvent aujourd’hui que l’on doive émettre un avis négatif sur quelque chose. Cela est certainement dû à la qualité médiocre avec laquelle beaucoup de choses sont produites aujourd’hui. C’est pourquoi je tiens à vous remercier chaleureusement pour les superbes outils que j’ai achetés chez vous et qui, depuis, rendent mon jardinage encore plus agréable. La qualité est excellente et ils sont légers et bien équilibrés.
Merci beaucoup et bonne journée.
G. D.
Bonjour !
Merci !
Les appareils commandés sont arrivés ce midi. A première vue, ils sont tous en ordre.
Je pense que la petite et la grande dent de cochon vont devenir mes outils préférés. J’ai hâte de les utiliser :-)
Les poignées en bois sont très agréables au toucher :-)
Merci encore pour la facilité avec laquelle vous avez modifié votre commande ! !!!!
Je vous souhaite une bonne journée et un bon travail !
Amitiés,
A. F.
Cher Monsieur Stadler
merci beaucoup ! Nous utilisons vos outils depuis plusieurs années maintenant et nous sommes toujours aussi enthousiastes. Non seulement les outils sont superbes, mais leur utilisation est la meilleure que nous ayons jamais essayée. C’est pourquoi cette année, nous allons offrir à nos amis et à notre famille un cadeau de printemps dès Noël.
Joyeux Noël de la province franconienne profondément enneigée
E. T.
Chers PKSistes, merci beaucoup, hier nous avons reçu un magnifique « Taurus », après que l’ancien se soit étrangement tordu.
Le jardinage avec les outils en cuivre est vraiment plus amusant. On ne le sait que lorsqu’on le connaît.
Cordialement
A. G.
J’ai utilisé quelques outils de traces de cuivre dans mon jardin et j’en suis très satisfait, c’est un plaisir de travailler avec
salutations W.A.T. Géomancie*Art *Expérience pédagogique
Jacques est passé de sa vie terrestre à sa vie spirituelle le 7 octobre 2013.